L’envahissement, en quelques heures, de l’enclave Espagnole de Ceuta, lundi 17 mai, par 8.000 clandestins venus du Maroc confirme l’accablant constat migratoire de ces derniers mois.
L’Europe fait face, non plus à une vague migratoire comme les technocrates de Bruxelles aiment le dire pour tenter de faire croire que ce phénomène serait éphémère, mais à une réelle opération d’invasion et de peuplement se renforçant mois après mois grâce à la complicité de Bruxelles et à la volonté immigrationniste de certains dirigeants nationaux européens.
• Alors que le nombre de migrants tunisiens arrivés sur les côtes italiennes a quintuplé en 2020 par rapport à 2019 ;
• Alors que le nombre d’arrivées sur les îles Canaries a été multiplié par dix en 2019 et 2020 ;
• Alors qu’en 2020, les îles Baléares et la péninsule Ibérique ont vu un nombre record d’Algériens illégaux accoster sur leurs côtes,
• Alors que 10.000 clandestins algériens sont arrivés sur les côtes européennes entre janvier et avril derniers ;
• Alors que la Grèce, tente de faire face à une situation migratoire toujours plus inquiétante obligeant la construction d’un énième nouveau camp d’accueil pour migrants ;
L’Europe de Bruxelles, coupable et complice de cette situation, continue pourtant de promouvoir son nouveau pacte pour les migrations et l’asile dont la conséquence sera l’arrivée de 60 à 70 millions de migrants en quelques années.
Seule une politique migratoire consistant en une coopération sincère entre les États membres permettra d’empêcher que toutimmigré clandestin mette le pied en Europe et que ceux qui s’y trouvent déjà soient expulsés le plus rapidement possible. La survie de notre civilisation en dépend.