Jean-Paul Garraud
11 avril 2024
Dans les Antilles, le chlordécone, un pesticide ayant été largement utilisé dans les plantations de bananes pour lutter contre le charançon, demeure une grave menace pour la santé publique et l'environnement. Malgré son interdiction dans les années 1990, la persistance de cette substance toxique dans les sols pose des défis majeurs en matière de sécurité alimentaire, de santé publique et de préservation de l'environnement.
La dépollution des sols touchés par le chlordécone aux Antilles n'est pas seulement une nécessité écologique, elle est cruciale pour la santé et le bien-être des populations locales.
C’est pourquoi les députés du Rassemblement National ont déposé un amendement exigeant la dépollution et réhabilitation des sols des États membres dans les territoires ultramarins.
Malheureusement, cet amendement de bon sens a été rejeté par les élus Renaissance mais aussi les députés Bijoux et Orville, tous deux issus des outremers, ceci par pur sectarisme, privilégiant les politicailleries aux réels attentes des populations concernées.
Désormais, les habitants de nos territoires ultramarins sont conscients de ceux qui se soucient véritablement de leur bien-être.
Chlordécone : rejet de notre amendement sur la dépollution des sols !
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