Jean-Paul Garraud
16 juin 2022
Communiqué de presse de Jean-Paul GARRAUD
Député français au Parlement européen
Président du groupe Rassemblement National au Conseil régional d’Occitanie
Président de l’Association Professionnelle des Magistrats
C’est en effet ce que l’on constate avec la publication d’une charte LGBTQIA+ par l’École européenne de « Bruxelles II » qui accueille les enfants des fonctionnaires européens. Cette charte, devant permettre de rendre cet établissement plus inclusif, bienveillant et sûr pour les membres de la communauté scolaire, liste un certain nombre de mesures, plus loufoques les unes que les autres, à intégrer dans le fonctionnement et le règlement de l’école. Entre installation de toilettes non-genrées, possibilité donnée aux élèves transgenres ou non-binaires de choisir ou modifier leur prénom, ou bien encore de choisir leur vestiaire ou leur chambre lors d’excursions, il est aussi recommandé d’utiliser des termes non genrés dans les documents administratifs. Ainsi on ne parle plus « fils » et « fille » mais d’« enfant » et plus de « père » et « mère » mais de « parent », « tuteur » ou « représentant légal 1 ou 2». Il est demandé de « privilégier les échanges non marqués par une considération trop binaire et hétéronormative des identités et des relations »… traduction : ne pas demander à un élève s'il a une petite amie mais plutôt s’il est en couple. Les identités de genre et orientations sexuelles doivent être intégrées dans toutes les matières et à tous les niveaux et la participation d'intervenants extérieurs doit être favorisée, tout comme les événements culturels relatifs à la diversité des identités de genre et des orientations sexuelles. Pour finir, la promotion de l’écriture inclusive fait évidemment partie des recommandations alors que l’académie française qualifie celle-ci de nuisible à la pratique et à l’intelligibilité de la langue française. Avec la mise en place de cette charte dans une école européenne, on comprend mieux pourquoi l’Union européenne dérive totalement en la matière et pousse même la Commission européenne à déclarer, en ce mois des fiertés, « the futur is queer » c’est-à-dire le futur est tout sauf hétérosexuel ! Cet endoctrinement forcené, en milieu scolaire, dès le plus jeune âge, n’est plus tolérable !L’endoctrinement LGTBI s’infuse jusque dans les écoles européennes !
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